Aujourd’hui ce fut le tour de Pierre Demers comme invité à la radio. Pierre Demers, auteur du livre : Élever la conscience humaine par l’éducation, dont il était question d’en parler ce matin, est professeur retraité de la Faculté d’Éducation Physique et Sportive à l’Université de Sherbrooke.
La discipline Éducation physique a risqué de changer son nom par : Sciences de l’Éducation physique en changeant aussi l’approche sous lequel cette discipline a toujours été connue : éduquer le physique et non la convertir en une science des mécanismes.
Ne serait le décrochage d’aujourd’hui le résultat d’avoir oublié certains éléments dans les programmes d’éducation? Parfois, ce décrochage à comme cause le fait que les jeunes d’aujourd’hui résistent une éducation basée sur le rationnel où des éléments tels : la créativité, l’intuition sont délaissés. La structure économique des entreprises d’aujourd’hui n’est pas intéressé à avoir dans leurs files des gens qui se posent des questions. Il s’agit de trouver des gens productives. Les gens qui s’en sortent de ces lignes, sont vus comme des utopistes ou des rêveurs.
Il critique même l’utilisation du terme : Ressources humaines, dans le sens que ceci fait penser que les travailleurs ne sont d’autre qu’une partie de l’engrenage de la machine, où leurs talents et habiletés, leur condition humaine n’ont aucune importance.
Il a aussi abordé la thématique de la surcharge de travail à l’école, une surcharge surtout d’information, que les jeunes n’ont pas le temps de mijoter, « parce qu’il faut passer à une autre chose ».
Fort intéressant, non?
Un autre livre que j’ajoute à ma liste.
Un blogue qui parle de course à pied, de vélo...des moments partagés. Vous trouverez des petites histoires du quotidien, des réflexions et de cuisine. Merci de votre visite!
jeudi 19 mai 2011
mercredi 18 mai 2011
91.3
Depuis quatre jours que je ne faisais pas du sport. Mon amoureux me l’a subtilement remarqué en me disant : ça se voit que ça fait quelques jours que tu ne fais pas du sport. Cela ça veut dire beaucoup de choses, entre autres que mon tempérament change pour le pire et je sue l’irritabilité et le malaise.
Ce matin je me suis levée un peu plus tôt et je suis allée courir, puis je me sens très différente. Merci. Les endorphines sont soulageant.
Je voulais aussi parler de la 91.3, radio Ville Marie, que j’écoute à chaque matin, pendant que je conduis vers mon travail. Soit dit en passant je suis devenue la queen de la route grâce à mon chéri qui m’a tout expliqué sur la conduit au volant. Il m’a même accompagné pendant un bout pour m’expliquer sur le parcours. Je sens qu’il est un ange, un être si généreux et détaché et je remercie de l’avoir dans ma vie.
À matin c’est presque toujours de religion-spiritualité qu’ils parlent à la radio. Et je profite de ces moments pour créer mon espace de réflexion. Les invités sont toujours des gens très préparés. D’après moi, la religion et la philosophie sont deux disciplines proches qui offrent des portes vers la connaissance de soi, du monde, des autres, des relations que les personnes tissent entre soi et les choses. L’autre jour j’ai resté quelques minutes dans la voiture pour entendre parler un peu plus à un homme appelé David Bernard, auteur du livre : Ralentir pour réussir. J’ai hâte de savoir s’il est disponible en bibliothèque. Il parlait d’un voyage dans le dessert, d’un pèlerinage, d’une rencontre avec un moteur, et leurs échanges. Et j’ai retenu cette pensée : pour quoi que certains gens réussissent et d’autres non ou c’est plus difficile pour certains? Et selon Bernard, l’échec n’est que la conséquence d’avoir arrêté d’insister. Il faut pérseverer pour ce qu’on aime, mais avant il faut savoir ce quoi qu’on aime et ce qu’on veut faire dans la vie. Ralentir pour le découvrir et foncer jusqu’à l’avoir. Parfois on voit des gens dont la chance semble toujours leur sourire. La chance peut nous arriver à tous, il s’agit seulement d’y être préparés.
Chose bizarre : cet David Bernard- l’auteur du livre- c’est le gars que tient la valise No 26 dans l’émission Le Banquier, où les participants peuvent choisir des valises contenant des sommes qui peuvent aller jusqu’au million de dollars. Je m’avais déjà posé la question en regardant cette émission sur le rapport que les gens ont avec l’argent. Sommes-nous tous préparés à recevoir la richesse, qu’est-ce qui se passe après avec les gagnants et l’argent.
Ce matin je me suis levée un peu plus tôt et je suis allée courir, puis je me sens très différente. Merci. Les endorphines sont soulageant.
Je voulais aussi parler de la 91.3, radio Ville Marie, que j’écoute à chaque matin, pendant que je conduis vers mon travail. Soit dit en passant je suis devenue la queen de la route grâce à mon chéri qui m’a tout expliqué sur la conduit au volant. Il m’a même accompagné pendant un bout pour m’expliquer sur le parcours. Je sens qu’il est un ange, un être si généreux et détaché et je remercie de l’avoir dans ma vie.
À matin c’est presque toujours de religion-spiritualité qu’ils parlent à la radio. Et je profite de ces moments pour créer mon espace de réflexion. Les invités sont toujours des gens très préparés. D’après moi, la religion et la philosophie sont deux disciplines proches qui offrent des portes vers la connaissance de soi, du monde, des autres, des relations que les personnes tissent entre soi et les choses. L’autre jour j’ai resté quelques minutes dans la voiture pour entendre parler un peu plus à un homme appelé David Bernard, auteur du livre : Ralentir pour réussir. J’ai hâte de savoir s’il est disponible en bibliothèque. Il parlait d’un voyage dans le dessert, d’un pèlerinage, d’une rencontre avec un moteur, et leurs échanges. Et j’ai retenu cette pensée : pour quoi que certains gens réussissent et d’autres non ou c’est plus difficile pour certains? Et selon Bernard, l’échec n’est que la conséquence d’avoir arrêté d’insister. Il faut pérseverer pour ce qu’on aime, mais avant il faut savoir ce quoi qu’on aime et ce qu’on veut faire dans la vie. Ralentir pour le découvrir et foncer jusqu’à l’avoir. Parfois on voit des gens dont la chance semble toujours leur sourire. La chance peut nous arriver à tous, il s’agit seulement d’y être préparés.
Chose bizarre : cet David Bernard- l’auteur du livre- c’est le gars que tient la valise No 26 dans l’émission Le Banquier, où les participants peuvent choisir des valises contenant des sommes qui peuvent aller jusqu’au million de dollars. Je m’avais déjà posé la question en regardant cette émission sur le rapport que les gens ont avec l’argent. Sommes-nous tous préparés à recevoir la richesse, qu’est-ce qui se passe après avec les gagnants et l’argent.
vendredi 13 mai 2011
Je l'aime....Joaquin
Je me sens transportée à ces temps d'adolescence, quand les émotions étaient fortes, et on n'avait peur de sentir....On ne connaissait cela: le juste milieu, on aimait à fond et on se plongeait dans la vie parce que on savait que d'elle on pouvait tout attendre. Parfois il se passent des choses que nous rendent amers, et oublions que si bien battue, elle est toujours là, cette étincelante haleine de vie.
mercredi 4 mai 2011
Comme jamais...
35 minutes de vélo sur TAck ce matin. Je n'ai pas encore sorti faire la route. Mais les week-ends, j'en profite quand même des belles journées qu'il a faites pour jouer du soccer avec mon fils. Il me permet encore de jouer avec lui, même si je suis poche :-)
Il m'explique comment qu'il faut frapper la balle, mais en vain, je continue à la frapper avec la pointe du pied.
Il s'est entraîné tout l'hiver et il est vraiment bon. J'aime le regarder sur le terrain de soccer: il est rapide et il a le sens du jeu: faire les passes au bon moment et à la bonne personne.
Je suis fière de mon petit amour. Il a de si bonnes notes en Education physique qu'il a été accepté pour le programme sport-études à l'école secondaire Gérard-Fillion. Les autres matières importent aussi, donc: il a gagné sa place grâce aussi à sa responsabilité face aux études. C'est émouvante de le voir grandir comme ça.
On passe de merveilleux w-e ensemble dans un endroit qui n'est pas mal proche de la campagne. Et j'y fais aussi de la course à pied avec mon chéri. En révenant on se prépare des BBQ sous le soleil... J'aimerais retenir ces moments comme dans un souffle.
Comme jamais, je ne fais que de vivre inténsement dans le présent.
Est-ce qu'on peut demander d'autre à la vie?
Il m'explique comment qu'il faut frapper la balle, mais en vain, je continue à la frapper avec la pointe du pied.
Il s'est entraîné tout l'hiver et il est vraiment bon. J'aime le regarder sur le terrain de soccer: il est rapide et il a le sens du jeu: faire les passes au bon moment et à la bonne personne.
Je suis fière de mon petit amour. Il a de si bonnes notes en Education physique qu'il a été accepté pour le programme sport-études à l'école secondaire Gérard-Fillion. Les autres matières importent aussi, donc: il a gagné sa place grâce aussi à sa responsabilité face aux études. C'est émouvante de le voir grandir comme ça.
On passe de merveilleux w-e ensemble dans un endroit qui n'est pas mal proche de la campagne. Et j'y fais aussi de la course à pied avec mon chéri. En révenant on se prépare des BBQ sous le soleil... J'aimerais retenir ces moments comme dans un souffle.
Comme jamais, je ne fais que de vivre inténsement dans le présent.
Est-ce qu'on peut demander d'autre à la vie?
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