mardi 20 décembre 2011

Solstice, l’étonnant père Noël où personne n’a eu de cadeau

Nous sommes allés voir cette pièce de théâtre présentée par le Théâtre du 450, avec les billets que j’avais gagné au bureau.
Le Théâtre du 450 c’est un petit groupe de jeunes très talentueux, passionnés pour l’art de la scène –selon ils ont expliqué au début de la présentation.
La chapelle Saint-Antoine à Longueuil, sert entre autres à ce genre de présentations. L’endroit, très accueillant, recevait lors de la soirée une trentaine de personnes groupées autour des tables rondes où au même temps on pouvait prendre un petit rafraîchissement.
Solstice…, une comédie inspirée du classique Casse-noisettes, raconte l’histoire de Clarathéna, une jeune adolescente avec un père absent et vivant dans une famille recomposée. Beaucoup de sujets sont subtilement touchés à propos des souffrances des enfants délaissés affectivement. Une histoire reflétant la réalité de la plupart des familles d’aujourd’hui.

Quant à moi, pour l’année 2011, recomposer une famille a été un grand défi. Si bien l’hétérogénéité des composants est présent au début, il reste cette petite lumière dans chacun de nous que nous êtes commun, que nous unit et que nous donne la force et l’espoir. Je remercie au même temps pour cette opportunité que nous fait grandir, que nous fait évoluer dans une nouvelle dynamique de vie.

Dans ces temps des fêtes, je profite pour souhaiter à toutes les familles, composées et recomposées : la patience pour devenir tolérante, la clarté mentale pour juger intelligemment, la flexibilité pour devenir moins rudes et mieux apprécier, l’écoute pour devenir moins égoïste, l’équilibre pour agir avec justesse, la force pour ne pas se laisser abattre, la persévérance et surtout de l’amour, parce que sans lui, aucune des autres n’est possible.

Confiance et foi pour l’année 2012!

mardi 6 décembre 2011

C’est le temps des fêtes….

....Et dans mon quartier les innombrables activités offertes par des organismes et par la municipalité nous donnent l’opportunité de nous submerger dans l’esprit de Noël.
J’ai acheté deux billets à 5$ chacun pour assister à une soirée de musique avec l’orchestre symphonique de Longueuil et les jeunes musiciens de la Montérégie au Théâtre de la ville.
J’ai amené mon garçon, et une fois installés dans nos sièges de la salle au théâtre je n’étais pas certaine que le spectacle serait à son goût.
Mais dès que les cordes de la vingtaine des violons commencèrent à sonner l’air dans la salle s’est rempli de la magie de la musique. Le directeur d’orchestre, Marc David, avait choisi pour commencer la suite Les maîtres chanteurs de Nuremberg de Richard Wagner, suivi d’une Fantaisie de Noël.
Nous sommes sortis au corridor pendant l’entracte et en montant les escaliers qu’y mènent m’ont fils m’a exprimé que « ça sent les vieux ». C’est vrai que la plupart du public était composé des gens âgés. Et c’est vrai que les vieux émanent cette odeur qui les identifie, pareil à celle de ma grand-mère. Mais grande ce fut sa surprise de rencontrer dans les corridors son copain de soccer Antoine qui a franchement exprimé : "Luciano! Je n’ai jamais pensé te rencontrer ici!"
La deuxième partie du spectacle ce fut aussi une très belle surprise. La chanteuse Patsy Gallant est montée sur scène. Quand je l’ai vue avec sa belle robe rouge, je l’ai reconnue et me suis tournée immédiatement vers mon garçon pour lui dire : "c’est la dame de Star Académie!". Nous on regarde religieusement cette émission à chaque jeudi, parce qu’on aime entendre chanter les jeunes qu’y se présentent. Luciano l’a reconnue aussi.  On l’a écouté chanter toutes les belles et connues chansons de Noël, dont leurs noms je ne m’en souviens pas tous mais que j’ai dans un CD dans mon auto (C’est l’hiver, The Christmas song, etc.) Patsy Gallant avec sa belle voix, est aussi un personnage drôle est vivant .
Il y a du monde que trouve que surprendre ces êtres chers avec des cadeaux inattendus, allumer le sapin, entendre les chansons de Noël, aller passer du temps en famille, c’est tomber dans la consommation et le prévisible.
Mais si je regarde les petits et les vieux qui prennent autant de plaisir à faire et voir tous ces « prévisibilités », je ne peux faire d’autre chose qu’avoir le sourire aux lèvres et éprouver beaucoup d’amour, de compassion et de sérénité en ayant la certitude que un nouveau monde est possible.

vendredi 11 novembre 2011

Exploration inversée

Demain à 9h du matin sur canal Évasion se poursuit la série d’épisodes de l’émission Exploration inversée. J’ai tombé par hasard mercredi passé sur elle et ai beaucoup aimé cette production du photographe Marc Dozier. Lui que pendant 10 ans ait visité une tribu de la Nouvelle Guinée, appris ces habitudes, culture, langue et qui est considéré pour ces habitantes comme un frère, nous propose un voyage à l’envers. C’est le tour à Polobi et Mudeya (deux chefs de la tribu) de visiter le monde des blancs. Sous leur regard vierge et dépourvu de préjugés on se redécouvre dans la folie quotidienne de notre « civilisation ». Dans le cas : le scénario de la France, est représentatif pour quoi pas de notre culture occidentale.
C’est une production intelligente. Sans aucune intention de suggérer des préconçus elle n’a pas le but de manipuler l’esprit pour nous faire passer une idée, comme on retrouve dans la plupart des émissions de télévision.
Elle constitue tout simplement une invitation à la réflexion et à l’émerveillement.

mardi 23 août 2011

Oui, il y a des douches!

Je suis tellement contente de ma découverte.
Quand pendant mon heure de lunch je voyais les coureurs faire leur jogging, je songeais à en faire de même. J’ai une heure et quart pour dîner et mon endroit de travail est entouré des pistes cyclables, des sentiers et des belles petites rues qu’invitent à se promener. Le problème était les douches. Pour faire mon entrainement il me fallait prendre une douche après pour retourner au boulot comme il se doit. J’ai fait mes recherches et finalement j’ai su qu’au sous-sol du bâtiment des douches étaient à disposition des employés et  qu’elles ne sont jamais utilisées.

Ma première sortie d’entraînement en heure de lunch fut tellement forte en émotion. Avant de partir j’étais déjà à 126 pulsations la minute, quand la normale c’est d’en être à 78. Oui, j’étais si excitée! En parcourant la première tranche de piste cyclable je m’approche des terrains de soccer. Et j’y trouve le meilleur endroit au monde pour faire mes sprints! Du gazon et du terrain parfois irrégulier. Dans cet espace vert et ouvert, 10 terrains de soccer sont installés et à midi ils demeurent inhabités. J’imagine que l’emplacement doit se remplir de gamins les week-ends ou même peut-être en soirée pendant les pratiques de soccer.
Je suis si enthousiaste que j’aurais pu rester encore un peu de temps mais la montre indique que je dois retourner sur place, prendre la fameuse douche et ensuite je n’ai que 15 minutes pour manger. Aux toilettes j’ai fait la routine de déshabillement, douche, habillement, tellement vite que j’avais horriblement chaud. Mes joues allaient exploser et j’étais toute rouge dû à l’empressement pour ne pas arriver en retard à mon poste.

Étant donné que je suis du genre méticuleux, calme, zen, cette expérience ce fut pour moi tout un défi. Comme il le dit souvent mon amoureux : il faut déguediner! Est-ce que ce mot existe en français? En tout cas, quand il prononce ces mots je sais bien qu’il faut que je passe à ma deuxième vitesse.... :-)

samedi 6 août 2011

Il faut une carte!

À la rive sud, les pistes cyclables sont si nombreuses. Elles amènent à des différents endroits selon le détour qu'on décide de prendre. C'est bon de partir à la découverte mais si on  veut savoir comment retourner à la maison c'est essentiel d'apporter une carte! Parfois j'étais au bord de la route, parfois je rentrais dans des quartiers résidentielles, ensuite sur le bord de l'eau, ensuite je ne sais plus.... J'aurais pû faire demi-tour et reprendre le chemin à l'inverse, mais je ne savais plus....



En tout 2h15 de vélo et beaucoup d'adrénaline.

Bon week-end à tous!

vendredi 5 août 2011

Plusieurs sprints rapides.

J'aime ça quand dans ma grille d'entraînement c'est le temps de faire: plusieurs sprints rapides! Hehe!
Parce que c'est le temps de s'amuser! Cela indique que je peux décider à quel moment que je commence le sprint et quand je le finisse, mais en fin de compte je fais toujours de même: une entrée en chaleur de 10 minutes et des petits accélerations qui font monter mon pouls. À la fin, dans les dernières rues à parcourir, je suis tellement agitée, et c'est là que les pulsation montent jusqu'à 174.
Pour faire les sprints il n'y pas de mieux qu'un terrain en gazon....et ici je commence à m'en souvenir de mon joli coin à Verdun, ou je parcourais la nature pendant que je courais. J'ai fait un tour tout à l'heure et j'y ai pensé que je fus chanceuse de connâitre ce quartier de Montréal.
 J'ai visité mon magasin préféré: La Branche d'Olivier, sur la rue Wellington. Le proprio s'en souvenait de moi et il avait l'air content de me revoir. J'y reviendrai de temps en temps.

C'est aussi que je pense que mon blogue devrait muter de nom puisque je ne suis plus une uruguayenne à Montréal. Nous sommes déménagés...j'en parlerai plus tard. Il y a beaucoup beaucoup à découvrir dans ces parages. Sera-t-il l'été assez longue?

mercredi 3 août 2011

Test

Olalà! Ça fait longtemps que je n'écris rien sur mon blogue. Au fait, j'en ai écrit mais je n'ai pas pû le publier. Voyons celui-là....

mardi 21 juin 2011

Goal!








Émouvant du début à la fin; Goal, the dream begins, un film dirigé par Danny Cannon, raconte l'histoire de Santiago Muñez, un jeune immigrant méxicain, habitant le quartier latin de Los Angeles, qui eut démontré dès petit un talent spécial pour maîtriser le ballon.


Ce fut le voisin qui a cogné à la porte pour nous offrir le DVD. Il nous a dit que lui et sa femme notaient souvent mon garçon jouer dans la cour avec son ballon, et puis qu'ils pensaient qu'il aimerait le regarder.


Nous étions si contents qu'ils nous le fassent découvrir. On l'a visionné deux fois: à soir et à matin!


Il s'agit du premier de la trilogie Goal, protagonisé par Kuno Becker et mettant en vedette Stephen Dillane. Les deux autres étant: Goal, living the dream, et : Goal: Taking on the world.


Plusieurs aspects de la nature humaine sont touchés dans le film: du talent inné, les barrières socio-économiques à surmonter pour arriver à faire ce que le jeune garçon veut faire dans sa vie, les barrières psichologiques et affectives insues de son histoire familliale, la pérséverance, la passion, la confiance en soi qu'il arrive à construire.

Venons-nous déjà avec un destin écrit ou sommes nous capables de le créer avec nos propres mots?


Cette oeuvre cinématographique ne s'insère pas du tout dans un déjà-vu. La manière dont l'histoire est abordée c'est loin d'être une naïveté. Au contraire, c'est un film profond, différent à ce qu'on est habitué de voir dans les classiques holliwoodiens.


Londres, le scénario principal du film, c'est un trésor visuel qu'offre le stadium de Liverpool, des rues presque toujours mouillées, des constructions citadines charmantes, un anglais épuré, raffiné, sans dilapidage inutile des mots, des dialogues intelligents.

On n'y retrouve aucunement des scènes superflues. Tout dans le film a une raison d'être.


Les amateurs de "football" tel que le soccer est appelé en Grand Bretagne, et les moins amateurs auront du plaisir garanti à visionner cet joyaux du septième art.

Nous on veut déjà la trilogie comme un classique de la maison!

jeudi 19 mai 2011

Radio matinale-continuation

Aujourd’hui ce fut le tour de Pierre Demers comme invité à la radio. Pierre Demers, auteur du livre : Élever la conscience humaine par l’éducation, dont il était question d’en parler ce matin, est professeur retraité de la Faculté d’Éducation Physique et Sportive à l’Université de Sherbrooke.
La discipline Éducation physique a risqué de changer son nom par : Sciences de l’Éducation physique en changeant aussi l’approche sous lequel cette discipline a toujours été connue : éduquer le physique et non la convertir en une science des mécanismes.
Ne serait le décrochage d’aujourd’hui le résultat d’avoir oublié certains éléments dans les programmes d’éducation? Parfois, ce décrochage à comme cause le fait que les jeunes d’aujourd’hui résistent une éducation basée sur le rationnel où des éléments tels : la créativité, l’intuition sont délaissés. La structure économique des entreprises d’aujourd’hui n’est pas intéressé à avoir dans leurs files des gens qui se posent des questions. Il s’agit de trouver des gens productives. Les gens qui s’en sortent de ces lignes, sont vus comme des utopistes ou des rêveurs.
Il critique même l’utilisation du terme : Ressources humaines, dans le sens que ceci fait penser que les travailleurs ne sont d’autre qu’une partie de l’engrenage de la machine, où leurs talents et habiletés, leur condition humaine n’ont aucune importance.
Il a aussi abordé la thématique de la surcharge de travail à l’école, une surcharge surtout d’information, que les jeunes n’ont pas le temps de mijoter, « parce qu’il faut passer à une autre chose ».

Fort intéressant, non?
Un autre livre que j’ajoute à ma liste.

mercredi 18 mai 2011

91.3

Depuis quatre jours que je ne faisais pas du sport. Mon amoureux me l’a subtilement remarqué en me disant : ça se voit que ça fait quelques jours que tu ne fais pas du sport. Cela ça veut dire beaucoup de choses, entre autres que mon tempérament change pour le pire et je sue l’irritabilité et le malaise.
Ce matin je me suis levée un peu plus tôt et je suis allée courir, puis je me sens très différente. Merci. Les endorphines sont soulageant.

Je voulais aussi parler de la 91.3, radio Ville Marie, que j’écoute à chaque matin, pendant que je conduis vers mon travail. Soit dit en passant je suis devenue la queen de la route grâce à mon chéri qui m’a tout expliqué sur la conduit au volant. Il m’a même accompagné pendant un bout pour m’expliquer sur le parcours. Je sens qu’il est un ange, un être si généreux et détaché et je remercie de l’avoir dans ma vie.

À matin c’est presque toujours de religion-spiritualité qu’ils parlent à la radio. Et je profite de ces moments pour créer mon espace de réflexion. Les invités sont toujours des gens très préparés. D’après moi, la religion et la philosophie sont deux disciplines proches qui offrent des portes vers la connaissance de soi, du monde, des autres, des relations que les personnes tissent entre soi et les choses. L’autre jour j’ai resté quelques minutes dans la voiture pour entendre parler un peu plus à un homme appelé David Bernard, auteur du livre : Ralentir pour réussir. J’ai hâte de savoir s’il est disponible en bibliothèque. Il parlait d’un voyage dans le dessert, d’un pèlerinage, d’une rencontre avec un moteur, et leurs échanges. Et j’ai retenu cette pensée : pour quoi que certains gens réussissent et d’autres non ou c’est plus difficile pour certains? Et selon Bernard, l’échec n’est que la conséquence d’avoir arrêté d’insister. Il faut pérseverer pour ce qu’on aime, mais avant il faut savoir ce quoi qu’on aime et ce qu’on veut faire dans la vie. Ralentir pour le découvrir et foncer jusqu’à l’avoir. Parfois on voit des gens dont la chance semble toujours leur sourire. La chance peut nous arriver à tous, il s’agit seulement d’y être préparés.

Chose bizarre : cet David Bernard- l’auteur du livre- c’est le gars que tient la valise No 26 dans l’émission Le Banquier, où les participants peuvent choisir des valises contenant des sommes qui peuvent aller jusqu’au million de dollars. Je m’avais déjà posé la question en regardant cette émission sur le rapport que les gens ont avec l’argent. Sommes-nous tous préparés à recevoir la richesse, qu’est-ce qui se passe après avec les gagnants et l’argent.

vendredi 13 mai 2011

Je l'aime....Joaquin



Je me sens transportée à ces temps d'adolescence, quand les émotions étaient fortes, et on n'avait peur de sentir....On ne connaissait cela: le juste milieu, on aimait à fond et on se plongeait dans la vie parce que on savait que d'elle on pouvait tout attendre. Parfois il se passent des choses que nous rendent amers, et oublions que si bien battue, elle est toujours là, cette étincelante haleine de vie.

mercredi 4 mai 2011

Comme jamais...

35 minutes de vélo sur TAck ce matin. Je n'ai pas encore sorti faire la route. Mais les week-ends, j'en profite quand même des belles journées qu'il a faites pour jouer du soccer avec mon fils. Il me permet encore de jouer avec lui, même si je suis poche :-)
Il m'explique comment qu'il faut frapper la balle, mais en vain, je continue à la frapper avec la pointe du pied.

Il s'est entraîné tout l'hiver et il est vraiment bon. J'aime le regarder sur le terrain de soccer: il est rapide et il a le sens du jeu: faire les passes au bon moment et à la bonne personne.
Je suis fière de mon petit amour. Il a de si bonnes notes en Education physique qu'il a été accepté pour le programme sport-études à l'école secondaire Gérard-Fillion. Les autres matières importent aussi, donc: il a gagné sa place grâce aussi à sa responsabilité face aux études. C'est émouvante de le voir grandir comme ça.

On passe de merveilleux w-e ensemble dans un endroit qui n'est pas mal proche de la campagne. Et j'y fais aussi de la course à pied avec mon chéri. En révenant on se prépare des BBQ sous le soleil... J'aimerais retenir ces moments comme dans un souffle.
Comme jamais, je ne fais que de vivre inténsement dans le présent.
Est-ce qu'on peut demander d'autre à la vie?

dimanche 24 avril 2011

Gâteau au chocolat sensacionalisimo


J'ai fait ce gâteau pour mon chéri d'amour, puisque c'est sa fête demain. Va-t-il l'aimer?
J'ai pris la recette du site Recettes de Québec, et j'ai doublé les quantités y indiquées parce que je voulais deux gâteaux pour que le résultat soit un gâteau plus important avec un glaçage au chocolat tombant du centre vers les côtés....
Ce qui m'a étonné de cette recette c'est l'utilisation de mayonnaise dans la préparation d'un gâteau au chocolat.

Voici les ingrédients:

3 tasses farine tout-usage
1 tasse de sucre
1 1/2 tasse cacao, non sucré
2 c.à thé poudre à pâte
1 1/2 tasse eau
1 1/2 tasse mayonnaise Hellman's
2 tasse brisures de chocolat
2 œufs

Préparation du gâteau:

Mélanger les 4 premiers ingrédients dans un grand bol.
Ajouter la mayonnaise en remuant et ensuite les œufs, de l'eau et 1 tasse des brisures de chocolat.

J'ai versé le mélange dans deux moules à gâteau de 8 pouces et j'ai mis 1 tasse des brisures de chocolat sur le dessus de une des deux préparations.

Ensuite il faut faire cuire les gâteau à 375C pendant 40 minutes.
Les retirer du four et commencer avec la préparation du glaçage:

Dans une poêle mélanger 1/2 tasse de beurre, 1/2 tasse de lait, 1/2 tasse de cacao en poudre non sucré et 3 cuillères de dulce de leche. Faire cuire à bas feu jusqu'à ébullition.
Mettre d'un coté.

Montage du gâteau:

Couper le dessus du gâteau sans les brisures, pour y parsemer le dulce de leche avec un couteau.
Couvrir avec l'autre gâteau de façon que les brisures soient dans le top, puis verser le glaçage qui est encore chaud sur le dessus.

J'ai triché un peu et j'ai déjà mangé les morceaux qui restent après couper le dessus du premier gâteau et ma première impression c'est qu'il s'agit d'un gâteau très moelleux.
Attendons à demain voir les verdicts!

dimanche 10 avril 2011

C'étaient les Saucony!


Le printemps explose dans ce coin de la terre et les joggers et amateurs de la course à pied sortent de leurs cachettes où-résignés-ils sont restés pendant l'hiver en se pratiquant sur le tapis roulant.



Quant à moi, je suis revenue à mes Nikes des années 70. Avec ceux que j’ai fait le demi-marathon à Yamachiche et que ne m’ont jamais fait mal nulle parte….hummm….sans compter les ampoules de rigueur et oui! c’est vrai que j’ai eu aussi mon ongle noir ….. mais cela ne compte comme blessure sportive je crois. Je parle des tendinites, de mal des genoux, etc. Avec mes vieux Nikes et mes vieux New Balance j’en ai fait des compétitions et je ne me suis jamais blessée. Est-ce que les souliers en ont un rapport? Mon amoureux me l’a répété à maintes reprises et moi, je suis un peu tête dure en ne voulais pas en admettre. D’après moi il suffit d’adopter la bonne posture et la bonne technique pour ne pas se blesser en course à pied, peu importe les chaussures. Malgré ceci, j’ai fini par me convaincre-de cela ça fait une semaine- que le type de souliers a beaucoup à voir avec les blessures sportives.



Voici mes Saucony trop coussinés



Mais qu’est-ce qu’il m’a pris quand je me suis achetée les Saucony? J’suis allée à une boutique spécialisée l’année passée en pensant qu’à force d’essayer plusieurs marques de souliers de course j’arriverais à en avoir des bons compte tenue que les miens étaient un peu usagés. Je les ai trouvés toujours tellement trop cousinés ces Saucony…. Les sensations se voient très réduites et en plus ça fait en sorte que le poids du corps tombe sur le flanc extérieur des jambes. J’avais la sensation que tout mon corps était désaligné même si j’essayais de trouver la position correcte. Je ne sais pas, on dirait que ces souliers sont dessinés pour les personnes faisant pronation vers l’intérieur des pieds.


En somme, je ne les supporte plus. Ils nous ont fait du mal à mon amoureux et à moi. Lui ce fut son tendon d'Achile, dur dur à guérir et moi dure dure à me blesser c’est toujours dans l’angle extérieur de mon genou gauche que ça fait mal. Dès que je me chausse mes fidèles Nikes, je n’éprouve aucun problème. Et je bascule entre eux et mes New Balance lors de mes sorties et je suis bien contente. Que voulez-vous, la technologie et moi ne font pas bonne affaire.


Et oui, mon chéri, t’avais bien raison….c’étaient les Saucony!

jeudi 24 mars 2011

Pétoncles accompagnés d'une sauce aux fraises au balsamique


Ça faisait bien longtemps que je voulais essayer ce plat : des pétoncles à la sauce aux fraises.
Mon chum ne raffole pas vraiment des fruits de mer et pour ce qui est du sucré-salé il n’est pas très amateur non plus.
Quant à mon fils, il s'agit sans doutes d'un garçon à l'esprit ouvert. Pas tous qu'à son age oseraient des plats au gout prononcé comme celui qui donnent les fraises mélangées au balsamique. Il est toujours bien disposé à essayer de nouvelles saveurs et il raffole des salades et des légumes! Je dirais un enfant bio.
Voici comment j’ai préparé les pétoncles et la sauce aux fraises. C’est une recette à simple exécution.
Premièrement il faut préparer la sauce aux fraises. Pour ceci il vous faut une tasse de fraises que vous couperez en petits carrés. Ensuite ½ d’ognon coupé en petits morceaux, 2 cuillères à soupe de vinaigre balsamique ou vous allez plonger les fraises et l’ognon. Voici la petite variation : je n’avais pas de la coriandre fraiche, pourtant j’ai utilisé de la coriandre en poudre et j’ai ajouté 5 ou 6 feuilles de roquettes coupées) et j’ai arrosé le tout avec de l’huile d’olive.
La préparation va au frigo pendant 30 minutes. Entretemps, vous profitez pour préparer le riz : dans un poêlon huilé on ajoute une tasse de riz et on laisse dorer. Quand le riz commence à faire crick crick, on ajoute deux tasses et demie d’eau, une cuillère à soupe de base de poulet et on laisse cuire jusqu’à ce que le riz montre des trous sur la surface. Ainsi on éteint le feu et on laisse reposer le riz dans le poêlon avec son couvercle. J’explique ma façon de préparer le riz, mais vous pouvez en faire selon votre façon. Sauf que la mienne, n’a pas de reproche, selon l’avis de certains assidus commensales de la maison.
Pour les pétoncles….c’est extra facile : dans un poêlon on ajoute 1 cuillère de beurre ou margarine non homogénéisée et on fait cuire les pétoncles à feu moyen pendant 10 ou 15 minutes selon le goût.
Si vous pensez participer à l'émission Un souper presque parfait, ce plat ferait bien comme entrée. Mais attention vous n'y serez épargné des critiques, parce que à cette émission tout le monde critique tout le monde, c'est un peu drôle...l'avez-vous regardée?

jeudi 17 février 2011

Le syndrome métabolique


Connaissez-vous l’émission RDI Santé? C’est une émission où des invités de renom parlent des sujets reliés à la santé. Par hasard, un de ces matins, j’étais devant la télé et quand j’ai entendu dire syndrome métabolique j’y accroché mon oreille… À ce moment la Docteure Élaine Martel s’apprêtait à parler de ce syndrome –peu connu mais à la fois très présent dans notre réalité. Le fait que la docteure Martel soit une coureuse qui a gagné plusieurs médailles dans différentes compétitions a fini pour me convaincre à entendre le reste du reportage. Elle est calme et explique avec beaucoup de patience et en termes simples sur ces maladies qui ont pris une importante place dans vies. De plus en plus il y a des gens qui en souffrent les conséquences.
Il y a certains symptômes indicateurs de la présence de ce syndrome.
C’est un ensemble d’anomalies métaboliques et physiologiques. Quand la personne présent ces symptômes elle est plus à risque de développer des maladies tel que : le diabète, des maladies cardiaques et cérébraux-vasculaires.
Voici les 5 grands critères pour établir la présence du syndrome métabolique :
1-L’obésité centrale, c’est le tour de taille qui est plus volumineuse
2-L’hypertension
3-La glycémie dans le sang
4-Triglycérides, voire : les gras
5-Cholestérol HDL
Si on a 3 de ces symptômes on peut dire qu’on est à risque de développer une des 3 maladies antérieurement énoncées : le diabète, une maladie cardiaque ou une maladie cérébral-vasculaire.
Ce qui est étonnant c’est que ça prend peut-être 5, 7 ou même 10 ans pour que ces maladies se manifestent, mais une fois installées elles sont irréversibles.
Docteure Martel explique qu’il peut avoir un marge d’hérédité dans le développement de ces maladies mais aussi que la principale cause serait le style de vie que nous menons. Nos habitudes par rapport à la qualité et la quantité de ce que nous mangeons et le sédentarisme constituent donc la principale source de ces problèmes.
La bonne nouvelle c’est que nous pouvons faire quelque chose pour éviter ces maladies dégénératives et ceci n’est pas compliqué. En menant un style de vie sain, ce qui veut dire : manger plus de fruits, des légumes et légumineuses et en faisant de l’exercice, nous pouvons non seulement fermer la porte à ces maladies mais aussi nous bien sentir dans notre peau. Parce que évidemment : quand nous respectons notre corps nous nous respectons et aimons à nous-mêmes. Et l’équilibre apparait comme par enchantement!
Puis, sans l’intention de devenir un athlète olympique, nous pouvons bouger pour éliminer des toxines. Il suffit de faire de l’exercice pendant 30 minutes par jour et ceci peut même être fractionné! L’exercice: le meilleur antidépresseur naturel….et le meilleur régulateur de nos fonctions métaboliques.
Voici le lien pour regarder l'entrevue avec Dre Martel:

lundi 14 février 2011

Truffes de la Saint-Valentin


Je me suis souvenu de ces truffes qu’Elena, la copine à mon père, faisait en Uruguay.
Je sais que ces truffes ne se préparent pas pour la Saint-Valentin en Uruguay, parce que nous n’avons pas l’habitude de fêter cette occasion. Mais j’ai pensé que préparer cette gourmandise à mes amours, leur ferait grande surprise pour la Saint-Valentin.
Ce sont de truffes très faciles à faire.

Ingrédients :

1/2 pot de dulce de leche
3 cuillères à soupe de chocolat de type Fry’s
1 paquet et demi de biscuits type Maria
3 cuillères à soupe de lait
1 tasse et ½ de noix de coco
½ tasse de sucre à glacer

Préparation :
Prendre par quantités de 4 ou 5 les biscuits Maria, les placer sur la planche à découper et les écraser avec le rouleau à pâte.
Déposer les miettes dans un grand bol. Ajouter le dulce de leche et les 3 cuillères de lait, ainsi que le chocolat et faire un mélange assez consistant pour être capable de manipuler la pâte et former de petites boules.
Dans un autre plat verser la noix de coco et le sucre à glacer. Passer les boules sur la noix de coco et voilà….les truffes sont prêtes!
JOYEUSE SAINT-VALENTIN! PROFITEZ POUR VOUS RAPPROCHER DE CEUX QUE VOUS AIMEZ...

P.S. Je sais que j’ai été hors de la toile dernièrement, j’ai du passer par de moments difficiles mais je n’ai pas beaucoup envie d’en parler. Peut-être un jour…Pour l’instant je me réjouis de partager avec vous ces gouttes de plaisir gourmand.

mardi 11 janvier 2011

Biscuits au citron

Que j’adore le citron...... et depuis quelque temps on dirait que je suis devenue accroc aux aliments à base de citron. Ce n’est pas juste pour la saveur que j’adore, c’est aussi le parfum. Une fois je suis allée à la pharmacie et repéré sur les tablettes la couleur jaune semblable au citron d’un tube de crème pour le corps à base de beurre de karité de la marque J.R. Watkins. Puis, après avoir regardé les ingrédients (sans parabène surtout) j’ai cédé à la tentation d'acheter cette crème à l'essence de citron. En plus, le dessin de l’emballage me rappelait à des temps d’antan, quand on achetait des crèmes simples avec pas trop de parfume. Mon chum que trouve de noms à tout le monde m’a surnommée Carlimón, parce que depuis que je l’utilise le parfum à lemon pie trahi ma présence par où je passe dans la maison.

Je sais qu'il n'y a pas beaucoup de rapport entre une crème pour le corps et des biscuits au citron...mais c'est que j’ai eu toutes ces pensées-là pendant que je préparais mes biscuits.
Les quantités suggérées dans la recette permettent d’obtenir 45 biscuits. Mes deux hommes ont raffolé de ces biscuits.

Ingrédients :
2oeufs
1 citron
4 ½ tasses de farine blanche
2 c.à thé levure chimique
½ tasse de beurre
½ tasse de yogourt nature
1 ½ tasse de sucre
1 c. à thé de vanille

Préparation :
Préchauffer le four à 375°F
Dans un grand bol mélanger le sucre et les œufs. Ajouter le beurre ramolli, ensuite l’écorce du citron, le jus d’un citron et le yogourt. Bien brasser et ajouter peu à peu la farine ainsi que le poudre à pâte.
Former une grosse boule de pâte et réfrigérer entre 1h et 2h, comme ça la pâte sera moins collante à rouler.
Étendre la pâte et utiliser des emporte-pièces pour former les biscuits. J’ai utilisé des cœurs et des soleils.
Placer les biscuits sur des tôles. J’en ai deux que j’ai réutilisé en 2 tours de four. Le temps de cuisson peut varier entre 15 et 18 minutes.

On les a tous mangés en deux jours.
Et ils s'accompagnent bien avec du thé anglais.....au citron!

vendredi 7 janvier 2011

À vos raquettes!


C’est le temps de la raquette! Je ne suis pas très équipée, mes raquettes n'ont rien de spectaculaires, mais je me suis lancée quand même faire un parcours de 4 km à l’île Saint-Bernard à Chateauguay. Le parcours est très facile et on peut le faire en famille. Selon l'inspiration du moment vous pouvez choisir les 2km ou vous lancer pour les 4km.
Je trouve que c’est un choix pour ceux qui ne veulent ou ne peuvent s’éloigner trop de la ville.
Le sentier se trouve derrière l’école secondaire Louis-Philippe-Paré, où nous avons participé aux 10 km de course à pied l’été passé. Je n’aurais jamais imaginé l’existence d’un refuge faunique (Refuge faunique Marguerite-D’Youville) derrière le complexe.
Le jour de notre expédition, nous avons rigolé à propos des traces d’animaux qui traversaient par endroits le parcours. La nuit était tombée mais nous disposions de lampes frontales ce qui a fait de la promenade toute une aventure!
Si vous ne disposez pas de raquettes ou des skis, une promenade sur le sentier de marche sera autant amusante.

samedi 1 janvier 2011

Postre chajá


Le postre chajá admet plusieurs versions. Celle que je vous propose ici c’est une recette familiale qu’on appel le faux chajá, pour quoi? Parce qu'à la place de la crème de lait à 35% suggérée dans la recette originale nous utilisons le dulce de leche qui donne par résultat un dessert beaucoup plus consistent que celui provenant des terres du Nord du pays, plus précisement de Paysandu. Pour rigoler je dis souvent que les originaires de Salto-ma ville natale-avons fait ça exprès de créer une nouvelle version de chajá, et ceci pour nous distinguer de nos rivals sportifs de tous les temps: les habitants de Paysandu.... :-)
Pour préparer ce dessert il faut penser à 3 étapes :
1-Le meringue
2-Le gâteau
3-Le dessert finale
Les meringues croquantes on les retrouve en Uruguay assez facilement, dans n’importe quelle épicerie ou boulangerie, ce qui facilite la tâche de la préparation de ce dessert typique de la veille du nouvel an. La sœur à mon amoureux nous a gentiment invité à passer la veille avec, donc je me suis dit: une excellente opportunité pour préparer le fameux chajá, même en sachant que-vu l’absence des meringues croquants dans les magasins- je devrais m’adonner à la tâche de les préparer moi-même.
Jour 1
Les meringues

Ingrédients:
½ tasse de blancs d’œufs à température ambiance
250 g de sucre
1 cuillère de fécule de mais
Une pincée de sel.
Préparation :
Utiliser un bol en vitre (selon Ricardo c’est la meilleur façon d’obtenir le meringue) mélanger les blancs d’œufs avec le mélangeur. Quand ceux-ci sont écumeux ajouter la moitié du sucre et continuer à fouetter jusqu’à ce qu’ils atteignent le point de meringue, pour un total de 5 minutes
Ajouter le reste du sucre el la fécule de mais de façon enveloppante.
Vous pouvez maintenant placer avec une cuillère les meringues dans une plaque précédemment huilée et enfarinée.
Emmener les meringues au four préchauffé et les faire cuire pendant 2 heures à une température de 200°F.
Une fois prêts, les garder pour le lendemain continuer avec la préparation.

Jour 2
Le gâteau
Ingrédients
6 œufs
200 g de sucre
2 cuillères à thé de levure chimique
200 g de farine blanche
1 cuillère à thé de vanille
Préparation
Dans un bol en vitre mélanger les 6 œufs avec le sucre pendant 15 minutes avec le mélangeur électrique. Retirer et ajouter la vanille.
Cerner la farine et le poudre à pâte et incorporer de façon enveloppante au mélange d’œufs.
Déposer le mélange à gâteau dans un moule de 24cm de diamètre et l’amener au four à une température de 200°F pendant 45 minutes.

Le dessert
Ingrédients :
Gâteau
Pêches en moitiés dans leur sirop
Meringues
250 g de dulce de leche
Préparation:
Une fois le gâteau prêt, le découper avec les doigts en petits morceaux irréguliers et déposer les parties les plus sèches comme celles provenant des côtes et du dessous, au fond d’un plat, en laissant des espaces entre les morceaux.
Dans un autre récipient verser le dulce de leche et y ajouter ½ tasse de lait, pour faire en sorte que le dulce de leche devienne plus liquide. Verser la moitié sur les morceaux de gâteau qu’on vient de déposer au fond.
Réserver deux moitiés de pêches et couper le restant en cubes. Déposer les petits cubes sur le gâteau, presser un peu avec la cuillère et ensuite parsemer avec les meringues dégrainées à l’avance.
Ensuite la deuxième couche des morceaux de gâteau, du sirop, le restant du dulce de leche et des pêches par couches, et finalement recouvrir avec le restant des meringues.
Décorer avec les deux moitiés de pêches réservées à l’avance.
J’ai servi des petites portions, parce que je ne connaissais pas les préférences de tous les commensales. Mon amoureux qui a la dent sucré a redemandé ainsi que ma belle sœur que je rencontrais par la première fois. Quand à son mari il n’a pas fini sa portion parce qu’il a trouvé ça un peu sucré.
Pour ceux qui préfèrent peut-être un dessert de texture plus mousseuse et legère la recette originale serait la plus appropriée.
Recette originale :
Au lieu du dulce de leche, utiliser :
750 c.c de crème de lait à 35%.
3 blancs d’œufs
Sucre à glacer (3 cuillères)
½ tasse de sucre
Fouetter les blancs d’œufs dans le mélangeur et ajouter le sucre jusqu’à consistance de meringue. Ajouter ce mélange à la crème de lait préalablement fouetté avec le sucre à glacer.