vendredi 31 juillet 2009

Le droit de vivre comme un enfant

Un article au sujet de la vie controversée de Michael Jackson est apparu, ça fait quelque temps dans BBC News. J’ai trouvé cela intéressante. Surtout pour les explications y versées pour les spécialistes Peter Sharp de la British Psychological Society et Peter Congdon à propos des enfants surdoués.
J’aimerais vous introduire dans la notion du terme « évitement de l’anxiété » (anxious-avoidance) dont je n’avais jamais entendu parler. Il s’agit du comportement de la personne que décide de rester dans sa zone de confort parce qu’elle sait qu’elle excelle là dedans, tout en évitant d’aller faire l’expérience d’autres défis.
C’est ici, dans la croyance que sa valeur comme être humain réside dans cette zone d’excellence, où se trouve le noyau du trouble de la personnalité de beaucoup de personnes, tel le cas de Michael Jackson.
L’enfant pense qu’il est aimé parce qu'il danse bien, il chante bien, etc, mais pas parce qu’il/elle a une valeur en soi.

Le psychologue ajoute dans son analyse que le développement précoce ou accéléré de certains attributs de l’enfant peut être bien dangereux. C’est le cas d’un homme qui amène sa fille adolescent à la piscine chaque jour à 4 heures du matin pour s’entraîner dans le bout que celle-ci devienne une championne olympique. Ou même le cas du philosophe JS Mill qui eut appris latin à 3 ans, grecque à 4 ans et écrit son premier livre d’histoire à 16 ans, en ayant à 19 ans une attaque cérébral.

La forte pression expérimentée pour ces enfants fait d’eaux des individus mal adaptés le reste de leurs existences.

Si vous parents, lissez ces lignes, réfléchissez au sujet des messages que vous passez à vos enfants. Eux, ils expérimentent le monde parmi ce que vous êtes, vos idées, vos croyances. Laissez les être!
Ça obéisse à quoi le besoin de contrôler et dominer les autres, même à nos propres enfants?!

N.B: En relisant mon billet j'ai constaté quelques horreurs/erreurs grammaticaux que j'ai par la suite corrigés dans la mesure du possible. J'espère que vous allez le lire mieux comme ça :-)

jeudi 30 juillet 2009

Question de choix




Station de métro à Washington. Un homme s’installe avec son violon pour interpréter des pièces de Bach, avec passion. Un homme âgé remarque le musicien, s’arrête quelques secondes et reprend son chemin. Une minute plus tard, un premier pourboire jeté par une dame pressée. Quelques autres sous, quelques autres regards, 6 petites personnes, qui attirées, voire : intriguées, s’arrêtent. Six enfants tirés par la main durement par leurs parents.

Cet homme s’appelait Joshua Bell, l’un des meilleurs violonistes au monde, qui eut accepté et se fut prêté pour faire une expérience proposée par le « Washington Post », pour participer à une expérience sociale de la perception et du goût.

Moi particulièrement, j’aurais fait ce que la majorité des gens. Peut-être m’aurais je arrêtée, oui, quelques instants. Ma programmation interne m'aurait indiqué que le métro n'est pas le "bon endroit" pour écouter de la "bonne musique", même si le coeur m'en disse une autre chose.

La vie à chaque jour nous envoie des informations. Ce que nous en faisons marque toute la différence dans nos expériences internes. Vivons-nous nos propres choix ou les choix imposés par les autres qui décident sur ce que nous devons faire et penser?

Vous vous-rappelez de vous-mêmes à l’âge de 6 ans, quand vous étiez ouverts à toute nouvelle expérience, l’attention mise sur les autres, sur le monde?

Tiré de ressources.pro

mercredi 29 juillet 2009

Oiseau de nuit ou oiseau du matin?

Est-ce que vous acceptez toujours de bon gré de changer vos routines?
Ce matin, je me débâtais entre aller ou ne pas aller.
-Où ça?
-Faire de la course à pied.
-Pour quoi changer à matin?
-Parce que j’aime bien changer et parce que le départ pour ma catégorie le 9 août est prévu vers 10 du matin.
-Parce que je veux savoir, en termes sportives (??!!) si je suis un oiseau de nuit ou un oiseau du matin. Disons, à quel moment de la journée je performe le mieux.

Il a fallu prévoir de se réveiller une bonne heure avant le départ, question d’avoir le temps de manger pour ne pas sortir à jeune.

C’est agréable de sentir comment le corps se réchauffe depuis les premières minutes de course. Sentir cette flamme qui envahisse dès la pointe des orteils jusqu’à la tête et qui s'installe en nous comme une chose tangible. Avez-vous déjà eu un bébé dans vos bras, ou un chiot? C’est la même sensation, avoir votre corps en main. C’est la vie qu'on embrasse!

Et puis, je me sens très bien. Oups! que les gens sont plus disposés à sourire et dire bonjour le matin que le soir. Surtout les femmes.
Voir la lumière du jour s’annoncer c’est féminin je conclus. Le soir donc, c’est masculin.

Je m’étiiireee. Ahhhh, c’est mouillé. Moi et l’herbe. Ça fait humide et mon corps remercie. Je me sens dans mon habitat. L’odeur de la terre, de l’air collant, du fleuve.
C’est vert et brun, pas le fleuve…ses yeux.

mardi 28 juillet 2009

Soprano sous les étoiles

Le 2 août prochain, à l’Île-des-Sœurs, se tiendra le concert en plein air « Soprano sous les étoiles». C’est l’Orchestre Métropolitain qui exécutera des ouvres de Schubert, Strauss et Mozart et qui accompagnera la soprano Marianne Lambert, dans cet endroit privilégié.

Récemment j’ai fait le tour de l’arrondissement organisé par la Ville de Verdun, et eu l’opportunité de passer par le parc West-Vancouver. L’endroit est magnifique.

Des instants de joie, de rencontre avec soi-même et les autres. Les différences que parfois séparent les humains peuvent bien se fondre pour laisser apparaître ce qui nous unifie à tous, et j’ai l’impression que la musique c’est un pont pour y arriver.

Vive l’été, la musique et la vie!

Voici celui avec qui je m’enfuis :
Concerto No. 5 en re mineur de Doménico Scarlatti




Post to MySpace! Share on MySpace!

vendredi 24 juillet 2009

Courir, manger, dormir et rien d'autre please!

Le longue de l’Estacade, combien de km a déjà?
15 km peut-être? J’ai mis donc 24 minutes à le parcourir avec facteur vent par secteurs.

Aller-retour Parc René-Lévesque : 51 :22 minutes (24 km je pense)

Je dois faire mes calculs comme ça à vol d’oiseau, parce que j’ai perdu un morceau de mon odomètre, celui qui se place dans le rayon.

J’espère bientôt m’acheter un sans fils. J’aurai aussi besoin d’un compteur pour savoir les tours faits dans la course de 20 km parce qu’elle s’agit de 5 tours au total. Peut-être que ce compteur est déjà inclus comme fonction dans l’odomètre.
Sans un compteur je craigne oublier les tours que j’aille faireJ.

Je suis fatiguée parfois. Je m’entraîne 6 jours sur 7 et je suis de façon stricte mon programme d’entraînement. J’ai fait pas mal de progrès. Je sens que j’arrive à contrôler ma respiration, il y a de trucs pour cela. Je gère bien mon effort. Mes jambes répondent bien.

Je veux éviter toute sorte de problème de type relationnelle. C’est mon point faible. Quand j’ai un problème avec quelqu’un cela se traduit par une mauvaise qualité de sommeil, chose que je ne peux pas m’en permettre. Parfois, j’ai envie de m’éloigner, courir, courir, courir et ne jamais revenir sur mes pas. Et comme le disaient les enfants de Tucuman, m’en aller très loin et que jamais personne ne me retrouve.

Quand je cours ou roule à vélo je pense souvent à tous vous qui me laissez vos mots d’amitié. Et je me souviens aussi de ce film en ayant comme personnage principal Tom Hanks : « Seule dans le monde », dont son unique compagnon était un ballon de soccer ramené vers la côte parmi d’autres restes de l’accident aérien. Il avait donné un nom à ce ballon et l’avait dessiné des yeux et la bouche avec son propre sang. Il lui parlait, prenait soin de lui, il a failli même de se noyer en essayant de sauver son ami le ballon. Je ne sais pour quoi je pense à ce film. Peut-être parce que parfois je ressens qu’il faut bien endurer dans la vie pour ne pas devenir fou.

jeudi 23 juillet 2009

Conte



Une jeune femme rendit visite à sa mère et lui dit que sa vie était tellement difficile qu'elle ne savait pas si elle pouvait continuer. Elle voulait abandonner car elle était fatiguée de se battre tout le temps. Sa mère l'entraîna à la cuisine où elle remplit trois casseroles d'eau qu'elle mit à chauffer à feu vif. Lorsque l'eau commença à bouillir, la mère plaça des carottes dans la première casserole, des œufs dans la seconde et des grains de café moulu dans la troisième. Elle les laissa bouillir sur le feu sans dire un mot.
Après 20 minutes, elle retourna à la cuisine, sortit les carottes et les posa sur un plat. Elle sortit les œufs et les plaça dans un bol. Puis elle versa le café dans une tasse.
Se tournant vers sa fille, elle dit :
- Dis-moi, que vois-tu ? - Des carottes, des œufs et du café, répondit sa fille. La femme l'amena plus près et lui demanda de toucher les carottes. La fille les toucha et nota qu'elles étaient molles et souples. La mère lui demanda alors de prendre un œuf et de le briser. La fille enleva la coquille d'un œuf et observa qu'il était cuit dur. Finalement, la mère lui demanda de goûter au café. La fille sourit quand elle goûta son arôme riche.
La fille demanda alors : - Quel est ton message maman ?
La mère expliqua : - Les carottes, les œufs et les grains de café ont affronté la même situation, l'eau bouillante. Alors pourquoi le résultat produit est-il différent ? Ce qui est important n'est pas la situation, mais la façon dont elle est interprétée et abordée. Les carottes sont entrées fortes, dures et solides. Mais, après l'épreuve de l'eau bouillante, elles sont devenues molles et faibles. L'œuf était fragile avec l'intérieur liquide. Mais, après être passé dans l'eau bouillante, son intérieur est devenu dur. Quant aux grains de café, ils ont, grâce à l'épreuve, exprimé toute la richesse de leur potentiel et ont réussi à changer l'eau. Que révèleront les épreuves que tu affrontes ? Seras-tu carotte, œuf ou café ?
Anonyme

mercredi 22 juillet 2009

Les élèves

Si la maîtresse leur demande ce qu’ils vaudraient devenir à l’âge adulte, elles se taisent. Et, après, en murmurant, confessent : être plus blanche, chanter à la télé, dormir jusqu’au midi, me marier avec quelqu’un qui ne me frappe, m’en aller très loin et que jamais personne ne me retrouve.
Et eux, ils dissent : être plus blanc, être champion mondial de soccer, être l’homme araignée et marcher sur les murs, voler la banque et ne plus travailler, m’acheter un restaurant et toujours manger, m’en aller très loin et que jamais personne ne me retrouve.

Ils n’habitent pas très loin de la ville de Tucuman, mais ne l’ont jamais vue. Ils vont à l’école, à pied ou à cheval, un jour oui, deux jours non…, parce qu’ils échangent avec leurs frères, à tour de rôle, le seul uniforme d’école et le seul pair d’espadrilles. Et la question la plus posée à la maîtresse c’est : quand est-ce que le dîner arrive?

E.Galeano

lundi 20 juillet 2009

Condors

"À dos d’âne, à dos de moto, à dos de soi-même, Federico Ocaranza parcourt les montagnes de Salta. Il va comme soignant les bouches au milieu de ces solitudes, de ces pauvretés.
L’arrivée du dentiste, l’ennemi de la douleur, c’est une bonne nouvelle; et là, les bonnes nouvelles sont rares, comme rare est tout.

Federico joue au soccer avec les enfants, qui rarement visitent l’école. Ils apprennent ce qu’ils savent en menant paitre les chèvres et en poursuivant quelque balle de chiffon entre les nuages.

Entre but et but, ils s’amusent à se moquer des condors. Ils se couchent par terre, sur le sol de pierre, les bras en croix, et quand les condors se lancent pour attaquer, les petits morts frappent un saut."

Ce texte de Galeano me fait toucher à terre, cet endroit que si bien réel, reste, au quotidien, plutôt dans l'oublie.

vendredi 17 juillet 2009

Duathlon ou triathlon, this is the question...

Bon. Il faut que je prenne une grosse décision.
Chaque année à Verdun, l’organisme sportif Antilopes, organise un triathlon-duathlon.
L’an passé j’ai eu l’opportunité d’y assister (comme publique) et je me suis dite que peut-être un jour je pourrais faire le défi.

Alors, jusqu'à maintenant, je n’ai presque pas fait de piscine, et je ne crois pas pouvoir parcourir 750 mètres, sans un entraînement adéquat.
Un jour à la fois.
Après des longues réflexions nocturnes qui m’ont maintenue en veille j’ai décidé qu’il serait mieux pour moi de commencer avec un duathlon pour poursuivre avec un triathlon l’année prochaine.
Le duathlon est très exigeant pareillement. À la place des 750 m piscine on fait 5 km de plus de course.

J’ai fait mes petites enquêtes. Évitons la panique des surprises de dernière minute! Comment c’est le dicton déja? « L’information c’est du pouvoir »

En 2008, pour ma catégorie (Femme, entre ? et ? ans), les résultats ont été les suivants :


Celle qui est arrivée en première lieu a mis les temps suivants :
5 km course: 22:52 minutes
20 km vélo: 42:17 minutes
5 km course: 22:39 minutes

Celle qui est arrivée en dernière lieu a mis les temps suivants :
5 km course: 26:17 minutes
20 km vélo: 57:22 minutes
5 km course: 28:58 minutes

Hier, j’ai fait le circuit de 5 km sur place (boucle sur la piste cyclable du Natatorium jusqu’à la rue Rielle en contournant le restaurant Crescendo), et l’ai complété dans un temps total de 20:52 minutes. J’ai voulais juste savoir s’il valait la peine de m’inscrire et participer dans cet événement, ainsi que d'éprouver les sensations pendant le parcours.
Quand j’ai eus fini j’étais bien contente de mon temps, MAIS : il y a d’autres facteurs à considérer pour le jour de la compétition, tel que le facteur psychologique : c’est mon premier duathlon!!!! J’ai déjà des papillons au ventre….. :-)

Quant aux transitions, j’aimerais pouvoir avoir plus de renseignements, du genre : où est-ce qu’on dépose le vélo+casque+souliers pour les prendre après la course?
Où est-ce qu’on laisse nos souliers de course pour les reprendre après?
Comment se passent-elles les transitions?

Mon objectif c’est de finir la compétition, peu importe le temps. Serai-je capable?
Ay Dios mio!!!


Même si vous ne participerez pas, le 9 août allez jeter un coup d'oeil. Il y aura un circuit de natation en eau libre, sur le fleuve, pour les audacieux!


Pour plus d’information sur le Triathlon de Verdun cliquez ici.

mercredi 15 juillet 2009

Spaghettinis au thon et aux olives noires


Tellement facile à faire…et un goût différent pour ceux qui mangent des pâtes régulièrement, comme moi!
Pour la sauce il ne vous faudra d’autre que :
1 boîte de thon de votre préférence
1 tomate hachée
½ boîte d’olives noires (l’autre moitié vous la mangerez pendant la tâche de la préparation de ce plat)
Sel et poivre
1 gousse d’ail hachée finement
Faire revenir l’ail dans un poêle.
Ajouter la tomate hachée, le thon, les olives noires. Saler et poivrer. Cuire à feu modéré pendant 15 minutes.
De la coriandre? Bien sûr…si c’est celle de mon jardin, encore mieux.

Mon entraînement de mercredi m’ait retenue suffisamment pour être dans l’impossibilité d’assister au Festival de Tango. Hier soir je devais faire 5 minutes jogging, suivis des accélérations de 1,5 minute (X 5), sur un total de 41 minutes de temps d’entraînement. Il fallait ajouter entre 8 et 10 minutes de temps en relation avec mon temps total de lundi.

Tâche accomplie! Soirée dansante ratée…

Festival International de Tango

Ne manquez pas le Festival International de Tango, dans les Serres municipales à Verdun, ce soir à 20 heures. C’est gratuit!

J’espère vous apporter une plus ample couverture, malgré que je serais prise (pour mon entraînement !!??) jusqu’à 20 h30. Je pense que j’arriverai plutôt pour voir les meilleurs/es danseurs/euses.

Bonne soirée!!!

samedi 11 juillet 2009

Un samedi d'été

Hier, j’ai fait 7 km de course à pied. Il faisait chaud et de plus mon fils qui roulait en patins à côté de moi n’était pas certainement de bonne humeur. Ça arrive parfois. Puis, je lui ai donné la clé de la maison et lui y ai renvoyé tout de suit. Ça m’énerve quand il est comme ça!
Aujourd’hui, tôt le matin, vers 7 h, je vois la lumière du soleil qui s’annonçait en traversant les séparations de mon rideau de bambou.

À 5 h j’ai eus jeté un coup d’œil vers la fenêtre et j’ai eus donné raison à Pierre : les journées raccourcissent. Ça ne fait que quelques jours à 5 heures c’était très clair à matin.
Suite à mon rituel matinal appelé « maté », j’ai pris un déjeuneur qui consistait en muffins aux bananes et du gruau avec du sirop d’érable.
Oui, vous avez raison, ce fut depuis le début que j’avais en tête de sortir à vélo. Il fallait gagner à l’orage annoncé par météo-média.


J’ai trouvé deux petits sacs en plastique pour apporter mes trucs que maintenant sont recouverts ce qui empêche que mon maillot se salit avec la noirceur de ces éléments.
Ça c’est le fameux kit que les cyclistes doivent apporter pour des sorties plus sécuritaires : petite pompe à aire, une chambre à aire au cas de crevaison et des pinces pour démonter (bientôt les Cyclopétards vont faire un atelier de mécanique du vélo et j’apprendrai comment les utiliser), :-), cellulaire, pochette avec un peu d’argent.

Je suis allée dans l’Estacade. Il y avait beaucoup de monde qu’y roulait. J’ai fait aussi une promenade dans la Rive-Sud. Dommage que je n’ai pas apporté ma caméra. C’est magnifique cet endroit de l’autre côté du fleuve, avec beaucoup d’espaces verts. J’ai bien travaillé et j’ai parcouru le chemin sans béton qui conduit vers le circuit Gilles Villeneuve. J’ai fait deux tours et je suis revenue à la maison. Le ciel commençait à se teinter de gris et le vent à souffler pas mal.
Je me suis procuré aussi une grosse pompe à aire pour la maison.
Avec cette pompe on peut mesurer la quantité appropriée d’air pour les roues.
Bella est de plus en plus contente, parce que je la gâte toujours avec de petits nouveaux cadeaux. Il faut maintenant que je fasse son toilettage, parce qu’elle est un peu sale. C’est certain que c’est très important de maintenir le vélo propre.

jeudi 9 juillet 2009

Poulet à la sauce d'abricot

Parfois je me demande, d’où je sors le temps pour faire tout ce que je fais dans ma vie de tous les jours.
Aujourd’hui, après mon travail, j’ai fait mon entraînement à vélo. J’ai travaillé dans ma zone 4, ça veut dire entre 80% et 90% d’effort, pendant 90 minutes. Il faut que je maintienne un rythme de course pendant une longue période et cela je vous expliquerai pourquoi bientôt.
Après ça, rendue à la maison, devinez quoi? Il fallait que je me mette à cuisiner. Une chance que j’avais un poulet de grains dans le frigo. J’ai essayé la recette de sauce aux abricots que j’ai prise d’ici.

Je n'avais jamais goûté cette sauce. Elle est tellement bonne... j'ai utilisé des onions rouges, de l'ail, du vinaigre balsamique, de la crème de lait 10 %(celle que j'aipour le café), sel , poivre, des abricots bien sûr.
J'avais condimenté le poulet avec du thyme, entre autres herbes, et le marriage des saveurs (thyme et abricots) fut formidable!

Le secret pour ne pas se stresser, c’est d’avoir d’avantage ce qu’on a besoin dans nos armoires et dans le frigo. Après ça on utilise l’imagination et le souper et prêt. C’est vrai que j’ai un gars adorable qui sait attendre pour manger et s’organise tout seul avec ses activités. Mon pauvre petit! Des fois je pense que je le néglige. De plus écrire dans mon blogue, chose que j’adore certainement!
Avisez avant de venir me rendre visite, le ménage ce n’est pas une chose courante chez moi…

lundi 6 juillet 2009



« Tout ce que tu contemples et qui semble être dehors, est dedans, dans ton imagination, dont cette vie finie n’est que son ombre » William Blake





Ces jours d’été je ne suis pas trop inclinée ver l’introspection ou la réflexion. J’ai envie de sortir, courir et plutôt être à l’extérieur, exploser, écouter à Celia Cruz chanter « la vida es un carnaval ....».
Un peu comme la cigale dans la fable La cigale et la fourmi : Pour quoi se compliquer la vie? Essayer de vivre le présent qu'en fin de compte c'est la seule chose réele est tangible. Et ici j'évoque à Justin, mon prof de TOEIC, le gars le plus "happy going" que j'ai connu. À des gens comme lui, qu'avec leur seule présence peuvent modifier n'importe quelle réalité, je n'ai qu'à leur remercier.

mercredi 1 juillet 2009