C’est le sujet abordé par le psychologue Camillo Zacchia dans un article du journal Métro du 20 janvier 2009.
Je me rappelle du film Philadelphia dans lequel Tom Hanks cachait son orientation sexuelle de peur que sa réputation comme avocat soit mise en cause. Mais quand la maladie eut progressée impossible de cacher les symptômes évidentes.
Et si le problème ne serait-il si grave sinon votre propre interprétation des faits, mais à cause de vos comportements «bizarres », les gens commençaient à soupçonner que quelque chose ne va pas chez vous?
Des fois, garder vos secrets ne fait que empirer les choses.
Parce que vous ne faites que créer un terreau fertile pour l’imagination des autres.
Faire face a la vérité, pourrait peut-être avoir des conséquences moins négatives pour vous et votre entourage. En prime vous pourriez gagner le respect et la compréhension de ceux qui vous entourent, selon ce psychologue.
Pas facile non?
A-t-il un rapport avec les exigences que nous nous posons envers notre propre personne?
Il faudrait peut-être accepter notre condition humaine, notre imperfection, en sachant qu'on a le droit de se tromper (quoiqu'il faudrait essayer qu'il ne le soit à répetition soutenue).
8 commentaires:
Chose difficile à faire dans notre monde qui exige l'excellence.
Il ne faut pas avoir peur d'être soi-même :)
Bonjour, Azul.
Puisque le mot "secret" existe, c'est que nous existons avec lui.
Pour garder un secret, encore faut-il en avoir reçu un.
Et si on en a reçu un, c'est qu'on a dit qu'on allait le garder...
Evidemment il y a le secret que l'on a reçu de personne...
Le livrer est nécessaire s'il fait du bien à autrui. Inutile s'il fait du mal.
Et à chacun son échelle des valeurs...
Bonne journée pour toi et merci pour tes mots.
Je t'embrasse.
Je n'ai pas de secret qui pourrait nuire à ma réputation, je n'ai qu'un regret, celui d'avoir eu un mariage voué à l'échec. J'aime construire, pas démollir, mais je n'ai pas eu le choix bien qu'ayant fait preuve de patience.
Bonne soirée Azuldelmar.
@herbert: Allô cher Herbert:
C'est vrai ce que tu dis.
Mais des fois, nous en débarraser de ce secret pourrait contribuer à nous libérer.
Quant à l'échelle des valeurs, t'as raison, parce que de fois je constate, avec regret que pas tous en ont les mêmes. Et là, c'est la déception qui en découle :(
@Marie: Merci de tes mots.
Comme ça je te connaîs un peu plus.
J'ai entendu dire quelque part: si après tout ça on n'est pas mort, ça veut dire qu'on est devenus plus forts. Et la vie c'est comme ça: faite de moments de joies et parfois de tristesse. Bisoux.
oh !! vaste question Azuldelmar !! des secrets j'en ai et j'ai tendance à les oublier (surement l'inconscient )
Ce billet est très futé ! mais malheureusement je ne vais pas pouvoir t'avouer mon secret puisque je l'ai oublié (tu m'diras c'est pratique !)
En tout cas , ce n'est un secret pour personne : ton blog est fantastique !
Garder quelque chose en secret ou décider d'en parler, c'est une question de choix des valeurs, à mon avis. Un secret qu'on a confié et que l'autre a accepté de garder, ce dernier ne doit pas le divulguer. Mais quelque chose qui concerne sa propre personne, on est libre d'en faire ce qu'on veut. Je pense qu'il est plus sain d'en parler pour vivre sereinement, oui!
Bises à toi, Azuldelmar.
j'ai un secret enfoui dans le fond de ma mémoire; le révéler serait trahir celui qui me l'a confié".par contre je peux te dire un secret de polichinelle : "demain je reviendrais consulter ton blog"
amicalement Yves
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