lundi 24 novembre 2008

La résistence au changement

Photo du Vieux Montréal

Dimanche, j’ai eu un peu de temps pour faire des choses que j’aime bien et qui me permettent d’aller à la rencontre de moi-même. Comme par exemple rester avec mon fils, sans rien programmer comme activité et laisser que les idées se déclenchent à l’imprévu. J’ai lis aussi quelques lignes d’un bon livre que je dois retourner à Yolanda et que j’ai ouvert au hasard. J’ai pensé à ce sujet : le changement.
Voilà ce que la majorité des gens fait pour résister au changement :
Changer de sujet dans une conversation,
Abandon de l’endroit physique,
Aller dans la toilette,
Travailler,
Arriver en retard,
Regarder par la fenêtre,
Perdre le temps,
Boire, manger, fumer,
Commencer ou rompre une relation,
Toutes des attitudes pour rapporter une décision toujours à plus tard.
Mais, tant que nous ne nous adonnons pas à faire ce qu’on doit être fait pour notre propre bien être, nous restons indéfiniment dans une situation que nous tracasse, que nous empoisonne l’existence et qui nous maintien attachés à un présent qui n’est pas le vrai présent, parce que c’est un passé non résolu et qui fait les fois de.
Est-ce que vous vous surprenez à vous-même en faisant des trucs pareils dans vos vies? Dites-moi que oui, comme ça je ne me sentirai si seule dans cette aventure humaine.
J’admire les enfants, leur attitude face à la vie. Eux, ils ne veulent pas modifier leur entourage, ils l’acceptent tel qu’il l’est, et profitent au maximum la seule réalité saisissable : le présente.
Résister le changement c’est aller contre la loi de la nature que nous entoure, qui s’exprime dans tous les phénomènes quotidiens et que nous rappelle que rien n’est pour toujours, sauf la vie. La façon dont on la vit fait toute la différence.

Aucun commentaire: